Théophile Gautier
COLLOQUE
Rencontre et débats présentés par Benoît Duteurtre
Programme
- Théophile Gautier, la musique et la danse par François Brunet, professeur à l'Université de Montpellier, auteur notamment de Théophile Gautier et la musique (Honoré Champion, 2006)
- La poésie de Gautier mise en musique par Vincent Vivès, Professeur des Universités, Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrési, auteur notamment d'Histoire et poétique de la mélodie française (CNRS éditions, 2000)
- Gautier wagnérien par Stéphane Guégan Conservateur au Musée d'Orsay, auteur notamment de Théophile Gautier (Gallimard, 2011)
- Le bicentenaire de Théophile Gautier par Annick Devries-Lesure, musicologue
Biographies
Benoît Duteurtre
Benoît Duteurtre est né en 1960 à Sainte-Adresse, près du Havre où il a passé son enfance.
A quinze ans, il montre ses premiers textes à l’écrivain Armand Salacrou qui vit dans la même ville et qui l'encourage. Passionné de musique, il entre en 1977 en faculté de musicologie à Rouen, puis fait des stages auprès de Stockhausen, Xenakis et Ligeti.
En 1982, il envoie quelques pages à Samuel Beckett qui l'incite à publier sa première nouvelle dans la revue Minuit. Installé à Paris, il gagne sa vie en pianotant. Du « Printemps de Bourges » au théâtre des Amandiers à Nanterre, il participe à plusieurs spectacles musicaux avec Norbert Letheule, Bernard Lubat, Henri Texier… Après avoir fait mille et un métiers, il se plonge un moment dans les archives de son arrière-grand-père, le président René Coty.
Tandis que son premier roman Sommeil perdu paraît discrètement chez Grasset (1985), Benoît Duteurtre multiplie les emplois journalistiques : le Monde de la musique, Diapason, Elle, Playboy, La vie, Révolution.
Depuis, il a publié les romans Les vaches (1987) - qu’il remaniera en 2000 sous le titre A propos des vaches - L’Amoureux malgré lui (1989), Tout doit disparaître (1992), Gaieté parisienne (1996), Drôle de temps (1997), Les Malentendus (1999), Le Voyage en France (2001) – qui a reçu le prix Médicis - Service Clientèle (2003), La Rebelle (2004), La Petite Fille et la Cigarette (2005), Chemins de fer (2006), La Cité heureuse (2007), Les pieds dans l'eau (2008), Ballets roses (2009), et Le retour du Général (2010) ainsi que les essais et chroniques Requiem pour une avant-garde (1995), L'Opérette en France (1997, rééd. 2009), Le Grand Embouteillage (2002), Ma belle époque (2007) et Les Pieds dans l'eau (2008).
Aujourd’hui traduit dans une douzaine de langues, Benoît Duteurtre est membre du comité de lecture des éditions Denoël. Il écrit régulièrement dans Marianne, Le Figaro, Paris Match et dans la revue L’Atelier du roman. Il est également producteur à France Musiques où il anime chaque samedi matin l'émission « Etonnez-moi Benoit ».
Benoît Duteurtre est conseiller musical de la Fondation Singer-Polignac.
François Brunet
Elève de l'Ecole Nationale Supérieure de St Cloud, agrégé, docteur ès lettres, professeur dans différents lycées à l'étranger et en France avant de passer Maître de conférences à l'Université Paul-Valéry de Montpellier.
François Brunet a fait une thèse sur Théodore de Banville puis a travaillé sur Théophile Gautier .
Il est l'auteur de "Théophile Gautier et la musique", primé par l'Académie française et de "Théophile Gautier et la danse" aux éditions Honoré Champion.
Vincent Vivès
Vincent Vivès, né en 1967, docteur de l'Ecole des hautes études en sciences sociales, est professeur à l'Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis. Il consacre son enseignement et ses recherches aux domaines de la littérature, de la philosophie et de la musique en s'attachant tout particulièrement à interroger leurs multiples relations. Il est l'auteur d'une Histoire et poétique de la mélodie française ainsi que d'ouvrages sur la poésie du XIXe et du XXe siècles.
Stéphane Guégan
Spécialiste du romantisme français, Stéphane Guégan a axé ses recherches sur les rapports entre peinture et littérature. Ses publications - livres, catalogues d'exposition et articles - ont porté principalement sur Gautier, Stendhal, Baudelaire, Banville, Ingres, Chassériau et Delacroix. Après avoir dirigé pendant six ans le Service culturel du musée d'Orsay, il a rejoint la Conservation.
Travaux universitaires
- 2000 : Jules Ziegler peintre, Thèse de Doctorat (sous la direction de Bruno Foucart) soutenue le 14 janvier 2000, mention Très honorable, avec les félicitations du Jury
- 1994 : Autour du Salon de 1847 de Théophile Gautier, Mémoire de l'École du Louvre (sous la direction de Pierre Georgel) soutenu le 27 mai 1994, mention Très bien avec éloges
Responsabilités éditoriales
- 1994 (mai) : création de la collection des ABCdaires (Flammarion)
Commissariats d'exposition
- 1997 : Théophile Gautier. La critique en liberté, Musée d'Orsay
- 2002 : Chassériau. Un autre romantisme, Paris / Strasbourg / New York
- 2003a :D'Ingres à Delacroix. Les artistes français à Rome, Académie de France à Rome
- 2003b : De Delacroix à Renoir. Les peintres français en Algérie, Institut du Monde Arabe
- 2006 : Ingres, Musée du Louvre
- 2009-2010 : De Manet à l'impressionnisme : une renaissance moderne, Madrid, San Francisco, Nashville
- 2009-2010 : Au-delà de l'impressionnisme : chefs-d'oeuvre du musée d'Orsay, Canberra, Tokyo, Nashville
- 2011 : Manet inventeur du Moderne
Principales publications
- 1997 : Théophile Gautier. La critique en liberté, Musée d'Orsay / RMN.
- 1998 : Delacroix. L'enfer et l'atelier, Paris, Flammarion
- 2002 : Stendhal. Salons, édition et introduction en collaboration avec Martine Reid, Le Promeneur.
- 2003 : Gauguin. Le sauvage imaginaire, Éditions du Chêne
- 2006 : Ingres. Ce révolutionnaire-là, Paris, Gallimard.
- 2006 : Ingres Érotique, Paris, Flammarion.
- 2011 : Manet inventeur du Moderne, Gallimard / Musée d’Orsay
- 2011 : Manet. L’Héroïsme de la vie moderne, Gallimard Découvertes / Musée d’Orsay
- 2011 : Théophile Gautier, Gallimard
Annick Lesure
Annick Lesure descend de Théophile Gautier par sa fille Estelle, épouse de l'écrivain Emile Bergerat. D'une famille de musiciens, Annick Lesure a elle-même fait des études de musique.
Titulaire d'un doctorat de musicologie, elle a effectué, depuis 1966, toute sa carrière professionnelle au Centre national de la recherche scientifique. Elle a collaboré à l'entreprise internationale de recensement et de catalogage des fonds musicaux publiés avant 1800 (R.I.S.M. - répertoire international des sources musicales).
Spécialisée dans la connaissance des éditions musicales anciennes et dans l'histoire de l'édition et de ses techniques, elle est notamment l'auteur , d'un ouvrage intitulé L'édition musicale dans la presse parisienne au XVIIIe siècle, Paris, éd. CNRS, 2005 et (en collaboration avec son mari, François Lesure) d'un Dictionnaire des éditeurs de musique en France des origines à 1914, Genève, éd. Minkoff, 1979, 1988 ; elle a aussi écrit de nombreux autres articles non seulement sur ce sujet mais également sur la vie musicale aux XVIIIe et XIXe siècles.
Tatiana Probst soprano
Tatiana Probst naît au sein d'une famille d'artistes et débute très tôt la musique. Elle participe avec la maîtrise de Radio France puis avec celle du Conservatoire national de région de Paris à de nombreux concerts sous la direction de chefs tels Seiji Ozawa, Georges Prêtre, Jean-Claude Casadesus, Myung-Whun Chung et Olivier Holt. Elle étudie ensuite le chant avec Mireille Alcantara au Conservatoire national supérieur de musique de Paris - recevant les encouragements chaleureux de Christa Ludwig - et paraît en soliste dans diverses productions au théâtre, à l'opéra, en oratorio ou en récital de mélodies. En 2009, elle est la plus jeune lauréate (devant un jury où figurait Teresa Berganza) et troisième prix du Concours international « air d’opéra et mélodie française » de Mâcon, puis en 2010 reçoit le deuxième prix du Grand concours national de musique de Levallois. Elle se produit cette même année à Guernesey dans le cadre du « 5th Victor Hugo International Music Festival », au Maroc entourée de musiciens de l’orchestre national de France et de l’Orchestre Colonne, puis à Paris avec le pianiste Jonas Atlan. En 2011 elle chante dans une création du chorégraphe Juha Marsalo (Atelier Carolyn Carlson), donne un concert à la Bibliothèque nationale de France à l'occasion du bicentenaire de Théophile Gautier en compagnie du pianiste Jeff Cohen et du ténor Cyrille Dubois et participe à une soirée consacrée aux surréalistes. Par ailleurs elle remporte un prix spécial au Concours international de chant des Châteaux en Médoc présidé par Dalton Baldwin, obtient une bourse au Concours européen musiques d’ensemble organisé par la FNAPEC et reçoit le prix « Student jury » au Concours LiedDuo d’Enschede (Hollande) ainsi que le prix « encouragement » au Concours international de chant lyrique de Bourgogne. Elle se produit en soliste avec des musiciens de l'opéra de Paris sous la direction de Laurent Petitgirard pour le 50ème anniversaire de l'aéroport d'Orly, interprète le rôle de Vincenette dans une nouvelle production de Mireille, chante les Ariettes oubliées de Debussy sous la direction de Constantin Rouits avec l’orchestre de l’opéra de Massy en ouverture de la saison 2011-2012. Elle participe actuellement au nouveau spectacle chorégraphique de la compagnie Ballanfat pour laquelle elle compose une partie de la musique. Elle chantera prochainement l'Exultate Jubilate de Mozart ainsi que des airs d'opéra sous la direction d'André Guilbert, donnera un récital au Théâtre du Chesnay en avril 2012 et sera l’invitée de Gaëlle Le Gallic pour une "carte blanche" dans le cadre de son émission sur France Musique en juin 2012. Elle est par ailleurs régulièrement invitée aux concerts de la Fondation Hippocrène .
Cyrille Dubois ténor
Cyrille Dubois découvre à sept ans la pratique du chant à la maîtrise de Caen dirigée par Robert Weddle. Alors sopraniste, il y aborde un large répertoire tant sacré que profane. Il s'illustre en tant que soliste dans les Pie Jesu des requiems de Gabriel Fauré, Maurice Duruflé et Andrew Llyod Weber. Il chante également dans les Chichester Psalms de Leonard Bernstein ainsi que le rôle de Miles dans Le Tour d’Ecrou de Benjamin Britten dirigé par Dominique Debart et mis en scène par Stefan Grogler à l’opéra de Lyon. Il enregistre auprès d’Alain Buet et Hervé Lamy un disque autour des petits motets de Sébastien de Brossard très remarqué par la critique internationale. Après sa mue et des études scientifiques, il reprend le chant au Conservatoire national de région de Caen puis de Rennes.
Devenu ténor, il découvre le répertoire de l’opéra en intégrant les chœurs de l’opéra de Rennes pendant trois saisons. Admis au Conservatoire national supérieur de musique de Paris (premier nommé), il se perfectionne dans la classe de Alain Buet dont il est récemment sorti avec la mention très bien. Il suit actuellement l’enseignement d’Anne Le Bozec et de Jeff Cohen pour le lied et la mélodie. Finaliste du concours Nadia et Lili Boulanger, il s’est également illustré lors du 21ème concours international de chant de Clermont-Ferrand qui lui offre la possibilité d'interpréter La cambiale di matrimonio de Gioachino Rossini dans de nombreuses salles françaises.
A l’opéra, on a également pu l’entendre dans La Flûte enchantée de Wolfgang Amadeus Mozart, Gianni Schicchi de Giacomo Puccini et plus récemment dans Le viol de Lucrèce de Benjamin Britten et Les Noces de Figaro de Mozart. Il collabore aussi avec de nombreux chœurs professionnels : Sequenza 9.3, la maîtrise de Caen, Les Musiciens du Paradis, les Cris de Paris ou en soliste dans de nombreux oratorios : Messe en Si de Jean-Sébastien Bach, Petite messe solennelle de Rossini, Missa di Gloria de Puccini et le Requiem de Mozart.
Il a été admis en septembre dernier au prestigieux atelier lyrique de l’opéra de Paris avec lequel il a interprété le rôle de Sam Kaplan dans Street Scene de Kurt Weil et Gonzalve dans l’Heure Espagnole de Ravel. Cette année on le retrouvera dans la Resurrezione de Georg Friedrich Haendel (dans le rôle de Saint Jean-Baptiste sous la direction Paul Agnew) et dans La Finta Giardiniera de Mozart (rôle d'il Contino Belfiore). Il fera également ses débuts à la Scala de Milan dans les Contes d’Hoffmann (rôle de Nathanaël) de Jacques Offenbach.
Jeff Cohen piano
Né à Baltimore aux USA, Jeff Cohen obtient les prix de piano et de musique de chambre au Conservatoire national supérieur de musique de Paris dans les classes de Reine Gianoli et Geneviève Joy, avant de poursuivre sa formation auprès de Leon Fleisher aux Etats-Unis et Peter Feuchtwanger en Angleterre.
Actuellement professeur au conservatoire de Paris, Jeff Cohen a été chef de chant à l’Opéra de la Monnaie à Bruxelles, professeur à l’école d’art lyrique de l’Opéra de Paris, responsable musical au Théâtre du Châtelet et conseiller à la Bibliothèque Nationale de France pour une série de concerts sur la mélodie française.
Il se produit avec de nombreux artistes tels Roberto Alagna, June Anderson, Cecilia Bartoli, Measha Brueggergosman, Jean-Paul Fouchécourt, Véronique Gens, Angela Gheorghiu, Ivry Gitlis, Ida Haendel, Sumi Jo, Steve Lacy, François Le Roux, Noël Lee, Ute Lemper, Mady Mesplé.
Il a enregistré de nombreux disques : un récital « live » à La Scala avec Angela Gheorghiu ; des mélodies de Henri Duparc, Gabriel Fauré, Reynaldo Hahn, Charles Gounod, et Charles Martin Loeffler avec François Le Roux ; des lieder de Mozart au pianoforte avec Véronique Dietschy ; des chansons de Kurt Weill et de cabaret avec Ute Lemper et des œuvres à deux pianos avec Noël Lee.
Chef de chant pour de nombreux enregistrements d’opéra (avec Bertrand de Billy, Christopher Hogwood, John Nelson, Michel Plasson et George Solti) Jeff Cohen a dirigé l’orchestre de l’Opéra de quat’ sous mis en scène par Giorgio Strehler, assisté Myung-Whun Chung pour Otello à l’Opéra Bastille, collaboré avec Patrice Chéreau pour Hamlet et Lucio Silla, et joué dans Impressions de Pelléas de Peter Brook et dans Masterclass mis en scène par Roman Polanski, avec Fanny Ardant. Il a été directeur d'études musicales de Street Scene de Kurt Weill avec l'atelier lyrique de l'Opéra Bastille. Actuellement, il tourne avec la chorégraphe Blanca Li dans son spectacle Le Jardin des délices.
Jeff Cohen compose aussi des musiques de scène et de films (Les Sentiments de Noémie Lvovsky, Consentement mutuel de Bernard Stora, Tombés du ciel de Philippe Lioret, Riens du tout de Cédric Klapisch, Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ! de Coline Serreau, Les Caprices de Marianne, mis en scène par Lambert Wilson et Le Jour d'avant, après, une chorégraphie de Thierry Niang.) Il a conçu et a animé une émission pour les enfants, Jeff d’Orchestre, après avoir collaboré avec Philippe Meyer pour Revenez quand vous voulez et Anicroches à la télévision française.
Christian Cloarec comédien
Sorti en 1984 du Conservatoire national d’art dramatique de Paris où il a été l’élève de Jacques Lassalle, Claude Régy, Jean-Pierre Miquel et Daniel Mesguich, Christian Cloarec a mené l’essentiel de sa carrière en France sur les scènes de la plupart des théâtres et des centres dramatiques nationaux ainsi qu’au cours de plusieurs tournées internationales tout en travaillant pour la télévision et le cinéma.
Ses anciens professeurs l’ont régulièrement sollicité — Alain Ollivier, Lluis Pasqual, Jean-Luc Lagarce, Christian Schiaretti, Daniel Zerki, Jean-Paul Lucet et Claude Yersi — et lui ont offert ses plus beaux rôles dans un répertoire tant classique que contemporain ; de Shakespeare à Camus, de Claudel à Wedekind, de Tabucchi à Dostoïevski, de Lope de Vega à Guyotat, de Sophocle à Gorki, de Marlowe à Besnehard.
Ce parcours éclectique s’est poursuivi à la Comédie-Française où il est engagé en 1999. Les metteurs en scène issus de la Maison de Molière (Denis Podalydès, Guillaume Gallienne ou Véronique Vella) mais aussi leurs invités (André Engel, Andrei Serban, Philippe Adrien, Claude Stratz, Jean-Claude Berutti, Serge Tranvouez, Jacques Lassalle, Jean Liermier, Oskaras Koršunovas, Andrès Lima) lui ont donné à interpréter aussi bien Corneille, Shakespeare, Marivaux, Calderon, Tchékhov, Rostand — que Laurent Gaudé, Werner Schwab, Luigi Pirandello, Marie N’diaye, Jean Audureau et Ödon von Horvath.
En 2010 on a pu le voir dans Pur de et par Lars Norén, puis dans La Folie d’Héraclès d’Euripide mis en scène par Christophe Perton. Dans le cadre de l’année France-Russie il part jouer joue Bartolo dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais mis en scène par Christophe Rauk, jusqu’aux confins de la Sibérie. Depuis, sous le regard de Claude Guyonnet et accompagné au piano par Jeff Cohen, il a créé Lettre de Casablanca d’Antonio Tabucchi au Théâtre du Vieux-Colombier, qu’il est ensuite allé jouer au Brésil. En septembre 2011, il quitte la Comédie-Française.
Parallèlement à ses activité théâtrales il vient de jouer dans le film portugais d’Alberto Seixas Santos, E o tempo passa et dans celui d’Aurélien Vernhes-Lermusiaux Le Rescapé. Au festival de musique de Laon, il vient très récemment d’interpréter La sonate à Kreutzer d’après Tolstoï avec l’Ensemble Musique Oblique.
Christian Cloarec a aussi enseigné l’art dramatique dans le cadre des cours Florent et Claude Mathieu à Paris ainsi qu’à Stanford University, Californie.
Adaptateur et scénariste, il vient d’achever une pièce de théâtre, Les Figues de Barbarie, qui sera bientôt l’objet d’une mise en espace.
Vidéos
François Brunet
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Stéphane Guégan
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Annick Devries-Lesure