Lettre de Abbé Mugnier à la Princesse de Polignac n°123

Publié dans Lettre

Paris, 14 nov. 1928

Princesse,

Je vous dois encore cette belle et suggestive pensée de Pascal. Cet homme a deviné l’âme humaine.

Et en nous apprenant à voir plus clair en nous-même, il nous donne la paix.

L’angoisse, en toutes choses, n’est qu’une forme ou un effet de l’ignorance.

Je viendrai demain entendre votre orgue, et je m’en réjouis. La musique aussi est un calmant. L’Eglise a bien compris cela.

Veuillez agréer, Princesse, l’expression de votre humble et particulièrement dévoué

  a. Mugnier

{gallery}correspondances/191{/gallery}